Violence dans la religion

La violence dans la religion peut se traduire par un comportement individuel mortifère, un conflit communautaire, une guerre de religion, ou des persécutions religieuses.

La religion a été jusqu’à la période moderne, étroitement liée à la politique ainsi que corrélée aux conditions économiques, de telle sorte qu’il est parfois historiquement erroné de considérer que des violences sont exclusivement d’origine religieuse[1].

La violence religieuse n'est pas toujours fondamentaliste, et tous les fondamentalistes ne sont pas violents[2].

La question de la violence, et en particulier de l'homicide, du viol, de la torture, est récurrente dans l'histoire et les religions ont été amenées à se prononcer à son sujet.

  • Parfois pour la prohiber (« tu ne tueras pas »)[3],
  • parfois pour l'instrumentaliser (sacrifices)
  • parfois enfin pour la codifier dans des cas formels bien définis : guerre (dont la légitimité en cas d'atteinte à des intérêts estimés vitaux ne semble contestée par aucune religion hormis des groupes comme les quakers et les mennonites), châtiments corporels, peine capitale éventuelle, etc.

Les religions ont émis des positions sur le suicide, forme de violence sur soi.

  1. (en) Karen Armstrong, « The myth of religious violence », sur the Guardian (consulté le )
  2. Sébastien Fath, « Fondamentalisme », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
  3. Cela concerne l'individu. L'Ancien Testament mentionne également qui doit être tué dans quelles conditions par le groupe et comment

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